Une saison sous le signe de la popularité pour La Tuque Rouge

SKI DE FOND. Le club de ski de fond La Tuque Rouge terminera sa saison 2016-2017 fin au cours des prochaines semaines.

La belle température, mais également un intérêt qui s’est accru cette année ce sont les deux éléments qu’il faut retenir de la saison qui achève.

« La belle température nous a beaucoup aidés et nous avons présenté de nombreuses activités encore cette année», résume le publiciste du club, Yves Greffard.

Selon M. Greffard, si le nombre de membres réguliers se maintient d’année en année avec 150 membres, il s’est vendu entre 20 et 30 % davantage de passes journalières à La Tuque Rouge cette année.

Il y a une relève intéressante. « Les gens de 25 à 40 ans se font plus nombreux» a-t-il constaté.

Souper de clôture

Le Club de ski de fond La Tuque Rouge a récemment clôturé sa saison par un souper reconnaissance pour les bénévoles ainsi que les fondeurs persévérants. 54 personnes assistaient à cet événement.

Sylvie Roy et Yves Greffard ont été nommés bénévoles de l’année tandis que Gabrielle Anctil et Raynald Pelletier, par leur assiduité, ont été désignés skieuse et skieur de l’année. Mme Sarah Latour fut la meilleure recruteuse et initiatrice de la saison.  «Les gens ont échangé sur les plaisirs qu’ils ont eu tout au cours de la saison, ce qui augure bien pour l’intérêt de revenir l’an prochain et participer aux nombreuses activités rassembleuses organisées par le comité», signalait Richard Lavoie, président.

M. Lavoie a été réélu à la présidence du club de ski de fond. Il sera secondé par Yves Greffard vice-président, Sylvie Chamberland, secrétaire et trésorière, ainsi que Guy Sylvestre, Kathleen Bérubé, Louise Ducharme et Lucie Veillette administrateurs.

Une nouvelle surfaceuse ?

Les dirigeants de La Tuque rouge travaillent actuellement pour obtenir une nouvelle surfaceuse destinée à l’entretien de la quarantaine de kilomètres de sentiers. Celle qu’on utilise actuellement date d’il y a plus de 25 ans et elle commence à démontrer des signes de fatigue. Pour l’organisation, la question est vitale, même si une nouvelle surfaceuse représente des coûts estimés entre 250 000 $ et 300 000 $. « Pas de surfaceuse, pas de ski de fond», tranche Yves Greffard.

Un projet a été soumis à la Société de développement économique et forestier de La Tuque (SDÉF) et on vérifie également les possibilités pour obtenir des subventions. M. Greffard se montre optimiste face à la suite des choses.  «Ça semble bien parti» conclut-il.