Une 7e victoire consécutive pour Steve Lajoie et Andrew Triebold
CLASSIQUE DE CANOTS. Les canotiers Steve Lajoie et Andrew Triebold ont remporté leur septième victoire consécutive ce week-end à l’occasion de la 81e Classique internationale de canots de la Mauricie.
«Je suis très satisfait, on a eu une bonne année, a commenté Steve Lajoie à son arrivée. On s’est entraînés fort et nos efforts ont été récompensés. De gagner la Classique, c’est l’aboutissement d’un rêve.»
Le tandem Lajoie-Triebold a non seulement remporté la Classique, mais aussi les deux premières étapes de la compétition. Les canotiers étaient suivis de près par l’équipe de Mathieu Pellerin et Guillaume Blais qui a remporté la troisième étape et qui a terminé deuxième au classement.
«Avant de commencer la troisième étape, on savait qu’on avait 6-7 minutes de retard, alors on a donné tout ce qu’on avait, explique Guillaume Blais. C’est un honneur de compétitionner contre eux (Triebold-Lajoie) parce qu’ils sont les meilleurs. C’est sûr qu’on aimerait gagner la première place, mais on est quand même très contents de notre performance et d’avoir gagné la troisième étape.»
Victoire de l’As du Piano en rabaska
En rabaska, c’est l’équipe l’As du Piano qui a été la première à franchir la ligne d’arrivée, suivie de l’équipe Gervais Auto.
«Ce qui a fait la différence entre nous et Gervais Auto, c’est l’entraînement qu’on avait, mentionne Marcel Pothier de l’As du Piano. C’est notre troisième victoire de suite et on va forcer pour une quatrième victoire l’an prochain. La compétition est toujours plus forte, alors on n’aura pas le choix de s’entraîner plus fort.»
«Je suis un peu déçu du résultat, confie Mathieu Gagnon du Gervais Auto. Ce n’est pas qu’on n’a pas essayé. On a tout essayé, mais on n’a pas été capable. On avait les heures d’entraînement et on avait le caractère, mais on a tellement brûlé de jus à essayer de rester dans sa pince. Cela dit, je suis vraiment content de mon équipe parce qu’on a fini avec environ 20 secondes d’écart. On a du travail à faire encore, mais on a une bonne équipe.»
Propos recueillis par Samuel Duranceau-Cloutier.