De la grande visite à La Tuque pour la clinique de basketball

Danny Vincent était en visite avec 6 de ses jeunes joueurs élites samedi dernier à l’École secondaire Champagnat. Éléanore Marciszewski (14 ans), Nicolas Duford (19 ans), Tristan Foucault-Brouillette (Secondaire 1), Oussama Madhouni (16 ans) et Shadrack (15 ans) accompagnaient Anie-Pier Samson (16 ans), classée première à la position d’ailier au pays dans son groupe d’âge selon le CROWN Magasine.

Danny Vincent Basketball est un programme d’encadrement individuel où chacun des athlètes peut établir son propre horaire incluant la portion biomécanique et la condition physique. Mélissa Morin-Gélinas, responsable des sports à l’École secondaire Champagnat, était satisfaite du déroulement de l’évènement: «Danny Vincent, c’est une école de basketball reconnue. Il a invité 6 jeunes de niveau secondaire 1 à collégial. Nous avions une trentaine de jeunes de notre côté pour participer à l’évènement. Ils provenaient de Champagnat et certains provenaient du primaire. L’activité a été un succès et très apprécié de la part des participants.»

La journée s’est divisée en deux volets, comme l’explique Madame Morin-Gélinas: «Le matin, les invités ont donné un spectacle aux jeunes via plusieurs exercices. Puis dans l’après-midi, les jeunes ont été intégrés aux exercices. L’an dernier, nous avions fait la clinique en fin de saison. Cette année, on voulait le faire en début de saison pour avoir plus d’impact. Puis notre but, ce serait de le faire pour tous les sports. En soccer, nous avions invité Marie-Ève Nault(athlète olympique, bronze) l’an dernier. Nous essayons toujours d’attirer un gros nom pour que les jeunes soient intéressés le plus possible.»

Anie-Pier Samson, étudiante de secondaire 5 au Collège Sainte-Tritinité de St-Bruno, est aussi classée dans le TOP-5 au Canada, toutes positions confondues. Elle se voit sollicité par différentes universités américaines de la NCAA division 1 qui cherchent à s’assurer son engagement par des offres verbales visant à réserver sa participation à leur équipe de basketball. Certaines de ces offres sont tout aussi alléchantes que la possibilité que de faire partie d’équipes du top 50 en NCAA.

«Je suis étonnée et surtout très satisfaite de l’intérêt que ces institutions portent à mon jeu et mes accomplissements académiques. C’est très plaisant d’être ainsi sollicitée. Les différentes mentions scolaires et sportives reçues ces derniers mois ont certainement attiré l’attention de certains recruteurs», déclarait l’athlète de 16 ans.