Chevaliers de Colomb : un siècle d’aide à la communauté
BÉNÉVOLAT. Le dimanche 6 mai, les membres des Chevaliers de Colomb de La Tuque marqueront une page importante de leur histoire en célébrant le 100e anniversaire de leur organisation. Pour l’occasion, une messe solennelle sera célébrée en l’église St-Zéphirin à 11h, à laquelle les Chevaliers participeront activement. Un dîner sera ensuite présenté dans la grande salle du sous-sol de l’église St-Zéphirin. Les Chevaliers actifs, les anciens membres, de même la population en général sont invités à y assister. Les billets seront en vente au coût de 25 $ jusqu’au 29 avril et on peut se les procurer à la salle des Chevaliers. On pourra voir des photos d’époque au sous-sol de l’église à cette occasion. Par cet événement, on veut souligner un siècle d’implication active des membres de cette organisation dans la communauté. Le conseil 1887 a été fondé le 17 février 1918 alors qu’un ancien maire de La Tuque, Willie Juneau, en a été le premier Grand Chevalier. Plusieurs personnalités marquantes de l’histoire de la Ville de La Tuque ont accédé à cette fonction importante, à travers les décennies. Le but est resté le même : venir en aide à des organismes communautaires locaux, aux familles et aux églises, explique le grand Chevalier, André Aubé. Depuis quelques années, les Chevaliers de Colomb s’impliquent énormément dans la cause de l’Hôtellerie de Trois-Rivières, qui héberge des gens qui doivent y séjourner lors de traitements contre le cancer. Ils sont plusieurs à mettre l’épaule à la roue à l’occasion d’une vente de hot dogs annuelle au marché IGA. La cause du cancer leur tient à cœur. Plusieurs membres Chevaliers répondent à l’invitation des Auxiliaires bénévoles du CIUSSS en donnant un coup de pouce à l’organisation du bingo des résidents. Une loterie nationale colombienne amasse aussi de l’argent pour leurs causes. Puisqu’une des missions premières est d’amasser de l’argent et venir en aide à l’Église, il n’est pas rare de voir des Chevaliers s’impliquer lors de funérailles. Le mouvement est masculin, mais les épouses des Chevaliers assistent régulièrement aux soupers et s’impliquent dans les activités. Aux dires des hommes présents, elles font bien partie de la vie des Chevaliers. Autre texte ici