Rétro 2018 : Avril

La firme trifluvienne GDG Environnement qui assure le contrôle biologique des insectes piqueurs depuis le milieu des années 80 à La Tuque, s’est vu accorder le contrat pour cinq années par le conseil municipal de Ville de La Tuque. Ainsi la firme obtient le contrat pour un montant annuel de 187 800$ soit 100 $ de moins que l’an dernier. Deux offres de services ont été reçues. Les Loups terminent la saison en beauté L’entraîneur-chef des Loups de La Tuque, Tommy Gauthier, s’est montré satisfait de la saison de la troupe Latuquoise, qui s’est inclinée en quatre matchs dans les séries finales contre le Bellemare de Louiseville. Le dernier match s’est terminé 8-4 en faveur du Bellemare. De son propre aveu, le Bellemare était l’équipe à battre et les Loups ont présenté une équipe décimée par les blessures, ce qui n’a aidé en rien. Malgré tout, l’équipe a toutes les raisons d’être fière de la saison qui vient de se terminer, avec de fortes assistances au Colisée Denis-Morel, de solides performances sur la glace et des partisans qui les ont soutenus depuis le début. Le drapeau de Louiseville flottera à La Tuque En assemblée publique du conseil municipal de La Tuque, le maire, Pierre-David Tremblay, a annoncé que le drapeau de la ville de Louiseville flottera sur le mât de l’hôtel de ville, ces prochains jours.  Cela, en référence à la victoire du Bellemare de Louiseville sur les Loups de La Tuque, en finale des séries éliminatoires de la LHSAAAQ. Le maire avait parié sur la victoire avec celui de Louiseville, Yvon Deshaies. Succès pour le premier salon de l’emploi Les employeurs ont afflué, les chercheurs d’emploi aussi, lors du premier Salon de l’emploi de la CCIHSM. L’événement a accueilli 215 personnes à la recherche d’emploi et 22 entreprises ont érigé des kiosques. La CCIHSM dit avoir constaté que des chercheurs d’emploi de l’extérieur ont aussi manifesté de l’intérêt pour le Rendez-vous. Il y aura assurément un deuxième Salon. Dépôt du mémoire de La Tuque Le maire de La Tuque, Pierre-David Tremblay, en compagnie de conseiller et de fonctionnaires municipaux est allé à Québec défendre son mémoire sur la situation financière de La Tuque qu’il avait déposé peu après son élection, auprès des ministres Martin Coiteux et Julie Boulet. En toile de fond, des compressions budgétaires de 1,9 M$ imposées à la suite du Pacte fiscal qui font mal au portefeuille de la municipalité. Les chemins forestiers, les redevances sur la foresterie, Hydro-Québec, le fait que le Haut-Saint-Maurice soit en territoire isolé, sont autant d’éléments alimentant les demandes de La Tuque. Trois bénévoles émérites Ville de La Tuque a honoré trois bénévoles émérites à l’occasion de sa 6e Soirée Cœur & Passion au Complexe culturel Félix-Leclerc. Exceptionnellement cette année, le conseil municipal de La Tuque a remis deux prix de bénévoles émérites en plus du prix jeunesse. Suzanne Brochu, Claude Philibert et Célina-Émilie Clary Denis-Damée (jeunes) sont les bénévoles émérites 2018. La Tuque ne s’ingérera pas dans le dossier de l’église Saint-Zéphirin Le maire de La Tuque, Pierre-David Tremblay, a réitéré que la municipalité ne compte pas s’ingérer dans le dossier de l’église Sain-Zéphirin. La ville ne fera donc pas partie de quelconque corporation pour prendre l’église sous son aile. Il a rappelé que La Tuque s’y implique depuis 2013, notamment avec la vente de l’église Marie-Médiatrice au groupe des Bâtisseurs. Les paroissiens, en 2014, avaient opté pour conserver l’église St-Zéphirin, au détriment de Marie-Médiatrice. D’ailleurs, au cours d’une assemblée tenue le 29 avril, trois comités ont été formés et devront plancher sur des alternatives concernant l’avenir de l’église Saint-Zéphirin. Le fruit de leur travail sera rendu vers la mi-septembre à l’occasion d’une troisième assemblée publique. Les bâtiments vétustes Ville de La Tuque a décidé de s’attaquer de façon active au fléau des bâtiments vétustes, un peu partout sur son territoire. Pour le secteur Parent, les élus ont indiqué que trois bâtiments dangereux, inhabités, du secteur Parent, allaient éventuellement tomber sous le pic des démolisseurs. Il s’agit des bâtiments situés sur les rues des Aulnes, Principale et Saint-Joseph. Dans ce dernier cas, il s’agit d’une ancienne salle de quilles et il y a bien longtemps qu’on y a entendu le son d’un abat.