L’Écho de La Tuque vu par…

Dans le cadre du 80e  anniversaire de L’Écho de La Tuque quelques personnalités et partenaires d’affaires de L’Écho ont voulu partager leur vision de leur journal hebdomadaire, également présent sur le web. Pierre-David Tremblay Pour le maire de La Tuque, Pierre-David Tremblay, L’Écho de La Tuque représente le véhicule par excellence pour communiquer la vie latuquoise et l’actualité régionale à toute la population. «C’est une belle équipe et je me rends compte qu’au fil du temps, elle s’est adaptée au changement. Pour moi, c’est très important», a souligné le maire de La Tuque.

Pierre-David Tremblay
Les commerces, le monde industriel, économique sont mis en évidence avec L’Écho de La Tuque, un média qu’il considère essentiel pour la population, au même titre que peuvent l’être les réseaux sociaux, les autres journaux ou la radio. «Ne pas avoir L’Écho, il nous manquerait une partie importante de la vie de La Tuque (…) Chaque semaine, on a quelque chose de notre communauté. C’est le compte-rendu des activités de notre communauté», fait-il remarquer. Il souhaite encore de nombreuses années de vie au journal local. « 80 ans, c’est méritoire et ça mérite d’être souligné, surtout quand on pense que le papier, c’est dépassé. L’Écho a créé le besoin et il va toujours être là. Il y a la vie courante de la ville là-dedans, on s’en sert comme référence», conclut Pierre-David Tremblay Manon Côté La directrice adjointe de la résidence des Bâtisseurs, ex-directrice générale de la CCIHSM et conseillère municipale Manon Côté, connaît bien le journal hebdomadaire latuquois.
Manon Côté
«C’est l’image des gens d’ici et c’est un outil permanent, L’Écho de La Tuque. Je suis très en faveur des réseaux sociaux et des journaux électroniques, mais je suis très «papier». On dirait que je lis plus, on dirait que je lis mieux. C’est le reflet des gens d’ici, sur un médium qui dure dans le temps», pense Mme Côté. Aux dires de Mme Côté, l’Écho de La Tuque représente une vitrine sur les actions citoyennes. «C’est grâce à L’Écho qu’on sait ce qui se passe. Quand on ne le voit pas dans L’Écho, on dirait que ça ne se passe pas», image-t-elle. Serge Fluet Le propriétaire de Pièces d’autos La Tuque utilise le journal L’Écho pour faire connaître ses promotions et ses produits, depuis 1986, au moment où il a acheté le commerce.
Serge Fluet
« La publicité, on en a tous besoin», confie celui qui consulte beaucoup l’information locale sur le web via L’Écho. Il avoue toutefois être toujours attaché à la copie papier de L’Écho, qu’il consulte aussi : «Je prends le temps de le regarder chaque semaine». Jean Spain Jean Spain est propriétaire d’Accent meubles, Spain ltée. Il compte sur L’Écho de La Tuque pour obtenir de l’information locale, mais aussi pour assurer la publicité de son commerce. «C’est une source d’informations fiable. Elle a toujours été au fil des années. C’est une source d’informations qui fait partie de notre quotidien, de notre vie. C’est une excellente façon de rejoindre notre clientèle encore aujourd’hui, même si on se plait à dire que les imprimés sont condamnés à disparaître. Ce n’est pas tout-à-fait le cas» Réjean Leclerc Celui qui a possédé la station de radio CFLM de 1982 à 2012 a aussi travaillé à L’Écho de La Tuque, à partir de 1975.
Réjean Leclerc
Il oeuvrait à titre de responsable de la distribution. «Il faut savoir que le journal était vendu à cette époque», se rappelle-t-il. En tant qu’animateur du palmarès de CFLM, M. Leclerc, une des voix qu’on a entendues longtemps dans l’histoire de la station de radio, a signé pendant plusieurs années dans les pages du journal une chronique sur les succès les plus en demande. Aujourd’hui propriétaire du Centre Hi Fi, Réjean Leclerc croit toujours en l’importance de L’Écho de La Tuque. Son entreprise annonce assidument pour faire connaître ses produits et services. Il considère aussi que L’Écho est une source crédible d’information.