La CAQ souligne l’urgence du développement d’Internet haute vitesse

La candidate de la Coalition Avenir Québec (CAQ) dans Laviolette-Saint-Maurice, Marie-Louise Tardif, a souligné l’urgence de mettre en branle des projets de développement d’Internet haute vitesse dans la région. Elle dit joindre sa voix à celle du maire de La Tuque, Pierre-David Tremblay. Elle a rencontré le maire et a convenu de l’importance de doter la région de connexion Internet de haute vitesse. «Les habitants de la région doivent bénéficier de la même qualité d’infrastructures de communication que ce qu’on retrouve dans les grandes villes. Les entreprises de La Tuque ou de Grandes-Piles doivent pouvoir rivaliser avec les entreprises établies dans les grands centres urbains», a mentionné Mme Tardif. Selon Mme Tardif, si un gouvernement de la Coalition Avenir Québec était élu, il s’engagerait à payer «jusqu’à 40 % des coûts associés à l’installation d’Internet haute vitesse en partenariat avec les MRC, une somme estimée à entre 500 et 800 M$». Pour Mme Tardif,  le réseau doit être déployé sur l’ensemble du territoire pour que les secours puissent être appelés en cas de nécessité. «Par exemple, l’absence de réseau sur la route 155 nord, très achalandée, constitue une lacune qui porte atteinte à la sécurité des gens et cela pourrait avoir des conséquences fatales en situation critique. Moi, je trouve cela inadmissible en 2018», a indiqué la candidate de la CAQ. Selon la CAQ, à l’heure actuelle, des projets visant le déploiement d’Internet haute vitesse en région sont bloqués au stade de l’analyse, «et ce, même si l’argent a été promis et annoncé par le gouvernement actuel». «La circonscription de Laviolette-Saint-Maurice, comme bien d’autres au Québec, doit enfin pouvoir entrer dans l’ère numérique», a conclu Marie-Louise Tardif.